Poète naïf et droit comme un e ou un n, ou un v, délavé de toute modernité, il saisira, délicat, de ses longs doigts d’enfant vieilli, ceux qui ont le temps et les posera quelque part, dans les bras d’une rivière, ou dans une brume fantasmagorique. Où que ne sais je encore… Alors bon, venez.
« Attention poète sauvage. Marchez à pas menus, au moindre bruit, il a disparu. »
« Ne donnez pas à manger au poète »