Hommage à son père, à Jean Jaurès, à tous les Jean partis au combat bercés par la hardiesse et la foi en le progrès, ce solo aborde avec force, tendresse et aménité les notions du don, de l'espoir, du rapport à soi et au monde. Le butô, point de départ, est une danse permettant la transformation dʼun mineur de fond en un soldat au front ; qui sʼadresse aux morts, une passerelle entre la vie et lʼau delà ; qui décalerait la réalité ; où lʼhumour est possible. Une danse permettant de transformer un mineur de fond, en chair à canon.